Ce vendredi 20 janvier coïncide à l’investiture de Donald Trump en tant que 45ème président des Etats-Unis, et sa fille a décidé de faire un plaidoyer en sa faveur.
Donald Trump n’a cessé de multiplier des actes que d’aucuns qualifieraient d’audacieux et d’autres d’irrespectueux. Son manque d’expérience et sa manie de tweeter à tout bout de champ inquiètent plus d’un. Mercredi, Barack Obama le mettait en garde contre le fait de porter atteinte à des fondamentaux des États-Unis. C’est dans ce climat qu’intervient la fille de Donald Trump, son bras droit : Ivanka.
Interrogée dans une émission de la chaîne ABC diffusée quelques heures avant l’investiture de son père à la présidence des États-Unis à Washington, la fille préférée de Donald Trump, 35 ans, a reconnu que « le pays est très divisé ». Elle demandait cependant aux détracteurs de son père de s’unir à lui pour le bien du pays. Elle déclarait ainsi : « J’ai vu, toute ma vie, que mon père était un incroyable unificateur. Alors, à chacun de ses détracteurs, je dirais : ‘donnez-lui du temps, laissez-le prendre ses fonctions, laissez-le prouver que vous avez tort' ». Elle promettait aussi que le discours d’investiture du milliardaire serait un discours « d’unité et d’optimisme ».
Elle s’est par ailleurs exprimé au sujet des innombrables tweets de son père. Quant à savoir si elle disait à son père,, d’arrêter de tweeter, elle a répondu : « Bien sûr, parfois je lui dis de ne pas le faire ». Mais elle a aussi souligné que Tweeter était un outil « très puissant » qui lui permettait de « porter directement » son message.
« Je ne suis pas la véritable première dame »
Ivanka, a aussi jugé « inapproprié » le titre de « véritable Première dame » que lui ont décerné certains médias américains. Cela, tant elle est plus visible aux côtés de son père que Melania, la femme du milliardaire. Elle s’est dite fière de sa belle mère qui, pour elle, fera une excellente première dame.
Face aux femmes inquiètes de l’arrivée au pouvoir du milliardaire, dont beaucoup prévoient de manifester samedi, elle a aussi assuré qu’il avait « montré toute sa vie son soutien et sa défense des femmes ». Il ne changerait pas après son investiture.