François Bugingo, un journaliste Québécois et envoyé spécial à l’étranger, a affirmé être le père biologique de Prince William, le duc de Cambridge, et a demandé une action en justice où il exige des tests ADN.
Mr. Bugingo, qui est né au Congo, est un journaliste Québecois émérite qui a rapporté d’innombrables conflits mondiaux à la télévision, la radio et dans les journaux. Il a déposé une plainte quant à sa paternité, ce matin, au palais de justice de Montréal, en exigeant au tribunal d’ordonner un test ADN afin de justifier ses dires.
Il a dit qu’il était le chauffeur ‘personnel’ de la princesse Diana et le garde du corps pendant plus de trois ans, avant et après la naissance du Prince William. D’après lui, il était en charge de la sécurité de la princesse au nom du MI5.
Il allègue avoir eu une affaire avec la princesse entre Juillet 1979 et Mars 1982 et est convaincu qu’il est le père biologique du Prince William.
« Quand Diana était enceinte, elle m’a dit que j’étais le père » a dit Mr. Bugingo. « Nous étions follement amoureux, mais sa famille l’avait poussé à se marier avec le prince Charles. Elle était très malheureuse avec lui, et elle ne couchait même pas avec lui à cette période. Je suis absolument convaincu que les tests ADN prouveront mes allégations. »
L’homme, qui est par la suite devenu un citoyen Canadien et un journaliste émérite respecté, déclare avoir quitté le Royaume-Uni car il était harcelé par des agents de la famille Royale.
François Bugingo, un journaliste en freelance au Québec, a contribué à de nombreux médias canadiens. Selon la Société Radio-Canada (SRC), « Au cours de sa longue carrière, Bugingo a contribué à La Presse, TVA, Le Devoir, le Journal de Montréal, Télé-Québec et Radio-Canada. »
Les audiences du tribunal quant à cette affaire étrange, qui est actuellement très populaire au Canada grâce aux médias, devraient débuter à partir du 2 Juin 2015, au palais de justice de Montréal.
Il n’y a pas encore eu de réactions, de la part de la famille Royale, mais le MI5 a effectivement confirmé que Mr. Bugingo avait en effet « collaboré avec les agences de renseignements britannique par le passé, » sans donner plus de détails.