Les trois questions qu’il faut se poser selon Obama avant de s’engager en mariage
Pour l’ancien président des Etats-Unis Barack Obama, il y a trois questions qu’il faut absolument se poser avant de s’engager avec quelqu’un dans le cadre du mariage.
Ancien directeur de la communication de Barack Obama (il a participé à ses deux campagnes présidentielles et passé six ans à la Maison Blanche), Dan Pfeiffer a sorti un livre, Yes We (Still) Can : Politics in the Age of Obama, Twitter, and Trump, dans lequel il raconte quelques anecdotes sur l’ancien président.
Dan Pfeiffer est revenu sur une conversation qu’il a eue avec Barack Obama concernant son projet d’emménager avec sa petite amie, Howli Ledbetter en 2011. Barack lui a répondu dans un premier temps : « C’est la bonne, non ? » avant de faire quelques précisions sur la démarche que devrait emprunter Dan Pfeiffer.
Pour l’ancien président, il faut se poser trois questions et y répondre par l’affirmative. Il affiche 31 ans d’amour et 26 ans de mariage avec Michelle, il sait donc de quoi il parle.
D’abord, « est-ce une personne que vous trouvez intéressante ? Vous passerez plus de temps avec elle que quiconque et il n’y a rien de plus important que de toujours avoir envie d’écouter ce qu’elle a à dire. » Ensuite, « est-ce qu’elle vous fait rire ? » Enfin, « je ne sais pas si vous voulez des enfants mais si c’est le cas, pensez-vous qu’elle fera une bonne mère ? »
D’après Barack Obama, « c’est long, une vie. Ce sont les choses qui comptent vraiment à long terme. »
A ces questions Dan Pfeiffer a répondu par l’affirmative, « Howli est incroyablement intéressante et beaucoup plus drôle que moi, et elle sera une maman phénoménale », a-t-il répondu au président. « On dirait que vous avez trouvé la femme de votre vie. Vous avez de la chance », l’a-t-il félicité en retour.
Dan explique dans son livre que lui et Howli se sont fiancés un an après cette conversation et ils se sont mariés quelques mois plus tard, en octobre 2016. « Et, depuis, c’est le même conseil que je donne à tout le monde », conclut-il.
crédit photo: grazia