Tokyo 2020/ Eléphants, donner tout ou rentrer au pays !
La sélection olympique ivoirienne croise le fer demain mercredi à 08h avec la sélection allemande dans le cadre de la 3e et dernière journée des phases de groupe du tournoi olympique. Actuellement 2e du groupe avec 4 points au compteur, les hommes de Soualiho Haïdara ont besoin d’un point pour valider leur ticket historique pour les quarts de finale de la compétition.
Avec des joueurs expérimentés tels que Max Gradel ou encore Franck Késsié, les Eléphants peuvent y croire. D’autant plus que face au Brésil, les Ivoiriens ont bien défendu. Ils étaient solidaires. Toutefois, attention aux Allemands.
Car la Nationale Mannschaft revient en force. Avec 3 points -1, l’Allemagne va jouer son destin face à la Côte d’Ivoire. Après une défaite 4-2 en ouverture de ce tournoi olympique. Les vice-champions de la dernière édition se devaient de réagir contre l’Arabie Saoudite lors de la deuxième journée de la poule D. Une victoire 3-2 contre les Saoudiens qui repositionne les Allemands qui doivent désormais gagner contre les Ivoiriens pour se qualifier.
L’Egypte et l’Afrique du Sud, une qualification possible
Les Pharaons d’Egypte et les Bafana Bafana d’Afrique du Sud entrevoient une qualification pour le second tour. La tâche s’annonce rude et chaude pour ces deux sélections en quête de repères et de victoires dans le tournoi. Les pharaons doivent absolument battre l’Australie pour espérer atteindre les quarts de finale. Avec 1 point au compteur, les rouges et noirs ont besoin absolument de victoire.
A côté, les Sud-Africains entretiennent un espoir mince de qualification pour le second tour de ces jeux. Gagner contre le Mexique et espérer une défaite des Français contre le Japon. C’est le scénario qui pourrait aider les Sud-Africains. Un scénario presque difficile, d’autant plus que le Mexique qui joue sa qualification aussi n’entend pas se laisser faire. Battue d’entrée par le Japon(1-0), l’Afrique du Sud doit marquer au moins 4 buts ce mercredi pour espérer se qualifier.
