suite des extraits du livre « s3xe au Vatican », livre à scandale sur la face cachée de l’église
Nous vous livrons ici la deuxième série dédiée aux extraits de l’ouvrage à scandale « sexe au vatican » du chercheur Abatte, sur la face cachée de l’église. Ici, l’auteur s’intéresse au mœurs liées aux relations perverses de quelques hommes de Dieu avec les sœurs d’église.
« -Vingt Ave Maria me suffisent pour me repentir d’être allé avec une femme. Je ne fais rien d’autre que me déchirer l’âme pour une vocation que j’endure.
-Tu les récites souvent, ces vingt Ave Maria ?
-Rarement dans la dernière période. Mais, pendant de longues années, je me suis mêlé aux oiseaux de nuit qui fréquentent les boîtes de Toscane et les discothèques de la marina. Je m’amusais jusqu’à l’aube. Je buvais, je dansais. (…)
-Combien de femmes tu t’es fait en une année ?
-Te dire combien… Je peux passer la question .
-Non.
-Salaud! Sept, huit, dix par an. Y compris les filles tarifées. Ça, c’est quand je n’en peux vraiment plus. »
et aussi:
« L’Eglise de Rome a admis en 2001 que dans 23 pays au moins, des prêtres avaient commis des abus sexuels sur des femmes, souvent des religieuses. La plupart de ces abus se seraient produits en Afrique, où sont enregistrés des cas de sœurs forcées de prendre la pilule parce qu’elles ont fréquemment des rapports sexuels avec des prêtres ; et des cas de sœurs décédées au cours d’un avortement, dont l’enterrement est célébré par le prêtre même dont elles ont dû subir les abus. Ce n’est pas tout. Le quotidien britannique Guardian a pu citer le cas de 29 sœurs de la même congrégation mises enceintes par des prêtres de leur diocèse. Ou de sœurs stagiaires obligées de se prêter à des actes sexuels avec des prêtres ou des évêques. »