Le nouveau locataire de la Maison blanche, est connu, il s’agit du républicain Donald Trump. Suite à son élection, plusieurs réactions ont été enregistrées à travers le monde. Certaines personnes ont apporté leur soutien à la victoire de Trump, par contre d’autres, ne l’ont pas du tout apprécié à cause de ses sorties jugées controversées pendant sa campagne.
La Présidente libérienne, Mme Ellen Johnson Sirleaf, avait aussi réagi à l’élection de Trump; mais ses propos ont été source de polémique. Dans sa nouvelle sortie, elle estime avoir été mal comprise par une partie de l’opinion.
Lune des parties de son premier discours de félicitation, que beaucoup qualifient de défavorables à la victoire de Trump, est celle-ci : »J’ai dit que le peuple américain a manqué l’occasion de faire ce que les petites démocraties ont fait pour inverser la marginalisation des femmes« . Cette phrase a suscité des critiques à l’encontre de la présidente libérienne. Au point qu’elle a été obligée de rompre le silence.
Cette portion de phrase qui fait polémique amène donc la présidente Sirleaf a réajusté le tir en apportant plus de précision. Selon elle, l’idée exprimée dans cette portion de phrase à »polémique », ne vise pas Donald Trump, mais faisait plutôt allusion au peuple Libérien, qui a fait son choix en la portant à la tête du Liberia.
Selon elle, En Afrique, trois autres femmes ont eu à briguer la magistrature suprême, à part elle. Il s’agit de Catherine Samba-Panza, présidente en 2014 lors de la transition à la République centrafricaine (RCA), Mme Agnès Monique Ohsan Bellepeau, devenue présidente par intérim de Maurice deux fois au cours des trois dernières années et Rose Francine Rogombé qui fut de juin à octobre 2009 la présidente intérimaire au Gabon.
Afin de couper court aux folles rumeurs qui voient dans sa sortie, une critique à l’encontre du président Trump, la présidente libérienne a dans son message, félicité l’élu des États-Unis d’Amérique, Donald J. Trump.
D’après un communiqué du ministère libérien des Affaires étrangères, la présidente Sirleaf a souligné qu’il y a beaucoup de leçons que le Liberia peut tirer des élections américaines au moment où le pays se prépare à une élection présidentielle en 2017.
Yao Junior L