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Showbiz: Graves accusations à l’encontre du rappeur 50 cent

On pensait qu’avec son nouveau projet intitulé « Still Think I’m Nothing », le rappeur américain 50 cent allait effectuer son grand retour dans les bacs. Malheureusement, les choses n’ont pas tourné comme on l’aurait attendu. C’est ce que nous révèlent plusieurs médias people. D’après le magazine Générations, le rappeur américain 50 cent est accusé d’avoir plagié la rappeuse Pineapple CITI qui fait partie du groupe de rap appelé G-Unit.

La jeune rappeuse explique que 50 cent s’était rapproché d’elle après avoir écouté son morceau « Rose Colored » pour lui proposer de le remixer pour elle et de la produire. Ce que la jeune demoiselle a trouvé génial. Elle a immédiatement accepté cette belle offre que lui faisait le rappeur. Seulement, 50 cent avait surement une autre idée derrière la tête si l’on s’en tient aux déclarations de la jeune rappeuse Pineapple CITI.

Showbiz: Graves accusations à l'encontre du rappeur 50 cent

Après avoir envoyé l’enregistrement instrumental, 50 Cent aurait rompu tout contact avec la jeune rappeuse. Quelques temps après, la rappeuse aurait découvert le nouveau projet de 50 cent avec son morceau dans  « On Something » qui ressemble étrangement à la musique instrumentale qu’elle avait remise au rappeur.  S’estimant plagiée, Pineapple CITI a décidé de s’exprimer publiquement pendant que 50 cent fait la sourde oreille.

Sur son compte Instagram, cette jeune rappeuse, membre du G-Unit a publié un teaser d’un morceau « On Something » pour décrire comment 50 cent l’aurait plagié.

Il faut dire que c’est un énorme coup que prend un grand rappeur de la trempe de 50 cent. Sans doute, il ne s’attendait pas à se retrouver dans un problème de plagiat et de vol de production. Pour le moment, 50 cent ne s’est pas encore exprimé sur cette affaire. Peut être, il le fera dans les tous prochains jours.

Oscar Mbena

Bonjour, je suis Oscar MBENA. Je vous invite à lire mes articles sur l'actualité politique, les faits de société, le sport, la santé et la culture.   oscarborel@afrikmag.com

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