Pierre Ménès explique enfin pourquoi Zidane est fâché avec lui
Pour sa première en tant que chroniqueur dans l’émission de Cyril Hanouna, Touche pas à mon poste (TPMP), Pierre Ménès a expliqué qu’il était en froid avec Zinédine Zidane depuis la Coupe du monde 2006. Pour la nouvelle formule du TPMP, le journaliste est revenu sur ses relations avec l’entraîneur.
Lors de sa première dans l’émission « Touche pas à mon poste (TPMP) », le journaliste ne s’est pas fait prier pour évoquer son domaine de prédilection qu’est le football, notamment, sa relation glaciale avec Zinédine Zidane.
L’émission TPMP est revenu avec une nouvelle formule. L’émission s’est penchée notamment sur une séquence des 40 ans de Téléfoot, diffusée dimanche, où Zinédine Zidane s’est confié sur sa carrière et sa vie privée.
Cyril Hanouna a demandé à son équipe de réagir à ce moment de télévision pour la nouvelle rubrique de l’émission baptisée « Touche pas à mon TT », pendant laquelle les chroniqueurs commentent trois sujets télé qui sont devenus des Trending Topics (TT) sur Twitter.
Pierre Ménès a confié « Sur le terrain, sur le banc ou dans l’émotion, il est toujours dans l’excellence », avant d’avouer qu’il était fâché avec le champion du monde 98 depuis plus de dix ans. « Enfin… il est fâché depuis très longtemps », a-t-il précisé avant de donner les raisons de cette embrouille.
Ça remonte au match de la Coupe du monde 2006 entre la France et l’Italie où Zidane a asséné un coup de tête à Marco Materazzi. « J’avais participé à une émission sur M6, a expliqué le chroniqueur. On avait décrypté le coup de boule et j’avais dit que n’importe quel autre joueur de l’équipe de France qui aurait mis ce coup de boule aurait été obligé de quitter le pays à tout jamais. Alors que lui a été absous dès le lendemain par Chirac et par la France ».
Toutefois, Pierre Ménès assure avoir toujours de l’estime pour l’entraîneur du Real Madrid.
« Ça ne m’empêche pas de l’avoir adoré comme joueur, d’apprécier son immense travail comme entraîneur au Real et d’avoir été très ému par ses images », a-t-il lâché.