Opinion: Que vous inspire les coiffures de la première dame du Cameroun?…Des citoyennes donnent leurs opinions!
Cela fait plus de deux décennies que la première dame Chantal Biya a opté pour des coiffures où elle porte une bonne quantité de mèches sur sa tête. En se coiffant ainsi, la première dame veille à ce que les mèches soient en grande quantité de telle sorte qu’elles deviennent touffues sur sa tête, comme c’est le cas de cette coiffure en image.
Ce modèle de coiffure adopté par Chantal Biya fait régulièrement l’objet de débat au sein de la gent féminine. Pour certaines femmes, les coiffures de la première dame du Cameroun sont très bizarres. La plupart des coiffures de Chantal Biya sont des coiffures encombrantes, « elle s’étouffe en se coiffant de la sorte » affirme à haute voix Marguérite, une assistante de direction, rencontrée dans un restaurant.
D’autres femmes sur les réseaux sociaux, vont même jusqu’à dire que « la première dame du Cameroun n’a pas un service de professionnelles chargés de s’occuper de son look en tant que première dame. Même ses conseillers ne l’aident pas à faire des bons choix en terme de coiffure ».
Par ailleurs, pour certaines femmes, particulièrement celles du Rassemblement démocratique du peuple Camerounais (RDPC), « les goûts et les couleurs ne se discutent pas ». La première dame a opté pour un modèle de coiffure responsable, qui ne ressort pas trop l’importance de la différence d’âge entre elle et son mari. « Si chantal Biya optait pour des coiffures plus simples, on la trouverait beaucoup trop jeune par rapport à son mari ». déclare l’une d’entre elles.
En plus de cela, « chaque femme a ses goûts et ses couleurs qui font d’elle une personnes singulière et différente des autres ». C’est sans doute le cas de la première dame Camerounaise.
»Que les coiffures de la première dame du Cameroun soient du goût ou non des autres dames, le plus important c’est qu’elle se sente épanouie et heureuse dans l’orientation esthétique qu’elle présente aux autres dames », renchérit une autre.
