Les procureurs au Brésil disent que la star du football Neymar da Silva Santos Jùnior est sous investigation sur plus de quatre chefs de fraude en relation avec une affaire fiscale avant son transfert à Barcelone en 2013.
Il est allégué que les entreprises ont été truqués afin que l’attaquant paie un taux d’imposition de taxe plus faible.
Les fonctionnaires au Brésil disent que les allégations contre l’attaquant de Barcelone couvrent une période de sept ans à partir de 2006.
Les allégations sont séparés d’une affaire entendue en Espagne mardi.
Neymar a comparu en cour à Madrid dans le cadre d’allégations de fraude entourant son transfert. Il a toujours nié toute malversation.
Le cas au Brésil concerne le moment où Neymar était encore au Brésil et son revenu provenait de sources brésiliennes.
Les procureurs du gouvernement – qui recommandent sa poursuite sur quatre chefs d’accusation de fraude – prétendent que les entreprises ont été mis en place comme les fronts, et de l’argent qui aurait dû être imposé au taux d’un particulier a été canalisé dans ces entreprises et soumis à un taux inférieur.
Les revendications des procureurs iront à un juge qui décidera si il y’a un cas à répondre ou non. Pour le moment Neymar n’est pas formellement un défenseur.
Au moment de son transfert, il était une étoile montante au club brésilien Santos.
Les procureurs brésiliens sont rapportés par l’agence de nouvelles AFP d’avoir des accusations de fraude aussi encadrées contre le père de Neymar, Neymar da Silva Santos, le président de Barcelone Josep Maria Bartomeu et son prédécesseur Sandro Rosell.
Barcelone a dit qu’elle a payé 57 millions d’euros pour Neymar en 2013 mais les enquêteurs disent que le transfert était plus proche de 83 millions d’euros et que le club a caché une partie de la transaction.
Neymar a passé une heure et demie devant un juge espagnol mardi.
M. Santos, qui est arrivé à la cour avec son fils mardi soir, a agit comme son agent.
Neymar a donc été entendu par la justice espagnole en qualité de mis en examen pour «corruption entre particuliers» et «escroquerie».