Elle n’aurait pas dû se baigner dans une rivière pendant ses vacances
Une nouvelle victime de l’amibe « dévoreuse de cerveau » a été recensée aux États-Unis.
« Ils disaient qu’elle était déshydratée, mais je savais qu’il y avait quelque chose de plus grave », avoue sa sœur.
Une amibe qui s’attaque au cerveau
Les récents examens ont bien révélé la présence de Naegleria Fowleri, qui est une amibe libre, un pathogène que l’on retrouve en faible quantité dans les eaux douces dépassant 25°C. Quand la victime inhale de l’eau contaminée, elle s’introduit dans le corps humain, et s’attaque au cerveau. Elle provoque une méningo-encéphalite amibienne primitive (MEAP), et la mort est presque certaine en 15 jours maximum.
Seulement trois personnes ont survécu sur les 138 cas observés aux USA entre 1962 et 2015. Cet été, Lauren Seitz (18 ans) a subi le même sort que Kerry Stoutenburgh.