Des inquiétudes ont été soulevées au sujet d’un nouveau jeu-suicide «Momo» sur WhatsApp qui a été comparé au challenge Blue Whale. En effet, ce nouveau challenge malsain se propage sur WhatsApp, sous les traits de Momo, un plaisantin s’amuse à terrifier des enfants et des adolescents.
Les médias occidentaux rapportent que Momo est similaire à Blue Whale, qui a causé la mort d’au moins 130 adolescents en Russie, dans la mesure où une personne anonyme encourage également les jeunes à se faire du mal après leur avoir envoyé des images violentes via l’application de messagerie.
S’ils ne se conforment pas, ils sont apparemment menacés.
Le suicide d’une fillette de 12 ans à Ingeniero Maschwitz, en Argentine, a été lié au jeu, rapporte le Buenos Aires Times.
La police enquête pour savoir si elle a été encouragée à se suicider et cherche un garçon de 18 ans qui l’aurait contactée avant sa mort.
Les détectives ont déclaré que l’intention de la jeune fille était de télécharger la vidéo sur les médias sociaux dans le cadre d’un défi crédité au jeu Momo. La police a déclaré dans un communiqué:
« Le téléphone a été piraté pour trouver des images et des conversations WhatsApp, et maintenant l’adolescent présumé avec lequel elle a échangé ces messages est recherché. »
En réalité, la créature est une sculpture élaborée par Midori Hayashi et exposée à la Gallery Vanilla de Tokyo. Il ne s’agit donc pas d’un monstre échappé de l’enfer. Ceci étant, personne ne connaît les réelles motivations des personnes à l’origine de ce jeu. La prudence est donc de rigueur et les parents doivent une fois de plus se montrer extrêmement vigilant.
L’avatar utilisé pour le jeu Momo est une image obsédante d’une femme avec des traits exagérés tirés de l’œuvre de l’artiste japonais Midori Hayashi.
Le blog Psafe a décrit le jeu Momo comme une attaque d’ingénierie sociale, qui n’est pas nécessairement réelle, mais qui peut tout de même causer du tort par le harcèlement en ligne et la cyberintimidation.
Il conseillait les parents sur les moyens de protéger les enfants, notamment en gardant un œil sur leur liste de contacts pour s’assurer qu’ils ne parlaient pas à des étrangers, en prêtant attention à ce qu’ils partageaient sur les réseaux sociaux et en utilisant un bon logiciel anti-virus. messages.
Crédit photo: Métro Uk