Côte d’ivoire: Loyer impayé, non assistance (… ), DJ Arafat clarifie tout entre sa mère et lui. Vidéo
La mère de la star ivoirienne du Coupé Décalé a récemment fait une sortie, dans laquelle elle s’en prenait à son fils. Sa réaction a fait le buzz sur la toile. https://www.afrikmag.com/musique-mere-dj-arafat-crache-ses-verites-a-son-fils-voici-ce-quelle-dit-a-lartiste/. Comme une réponse du berger à la bergère, le fils, Dj Arafat rompt son silence et publie à son tour, une vidéo sur sa page facebook. Dans cette vidéo, Arafat DJ n’a pas mâché ses mots.
‘‘Maman si tu arrêtes de sortir, si tu arrêtes de te donner en spectacle (scandale) tout le temps, si tu arrêtes de te comparer à tes petites sœurs qui sont aujourd’hui artiste, si tu restes dans ton coin, maman tu auras tout ce que tu veux.’’ Révèle le commandant Zabra. Avant d’ajouter: ‘‘Quand elle m’a écouté, tout allait bien de 2016 à janvier 2017… Je n’avais pas besoin de taper dans ma poitrine pour venir montrer que je m’occupe d’elle… Je n’ai rien à ne prouver à personne », dit Arafat dans sa vidéo.
Au sujet du paiement de loyer pour sa mère, Dj Arafat est revenu sur le sujet puisque, sa maman, dans ses sorties médiatiques, était revenue sur la question. Sur ce point, Dj Arafat très en colère affirme :
‘‘…Pourquoi je n’ai pas payé le loyer de ma maman depuis 6 mois ? Je vais vous répondre’’, commence-t-il, avant d’expliquer: »Un matin du mois de février, je suis couché chez moi tout fatigué, je revenais de travailler au studio. On m’appelle à 10 heures pour me dire que ma maman s’est faite frapper par un jeune dans un bar que tout le monde connait, au Bluetooth. On m’appelle pour aller me battre. Normalement je devais courir pour aller me battre, car c’est de ma maman qu’il s’agit. Mais j’ai une image à protéger…’’, tel est le condensé de cette vidéo qui fait le buzz en ce moment.
En tout cas, en attendant, la maman de Dj Arafat elle, traîne l’impayé de son loyer, puisque, dans sa vidéo, Arafat n’a pas dit, qu’il va régler l’ardoise sale de sa mère. Les menaces d’expulsion avaient entre temps, cessé. Malheureusement le mal est revenu.
Yao Junior L