« Les femmes ne peuvent pas naître avec un p3nis » : Boris Johnson s’oppose aux femmes transgenres
Le Premier ministre britannique, Boris Johnson, a salué la décision d’interdire aux femmes transgenres de participer à des compétitions de natation, affirmant qu’elles ne peuvent pas naître avec un p3nis.
Le Premier ministre a réaffirmé qu’il soutient la décision de la Fédération internationale de natation (FINA) qui interdit aux athlètes transgenres ayant changé de s3xe de participer aux compétitions réservées aux femmes.
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La FINA a annoncé qu’elle changeait ses politiques de sorte que les femmes transgenres ne peuvent participer aux courses féminines de l’organisation que si elles ont terminé leur transition à l’âge de 12 ans.
Au lieu de cela, une « catégorie ouverte » sera mise en place pour permettre aux athlètes transgenres de concourir les uns contre les autres lors d’événements, y compris les Championnats du monde aquatiques, les Championnats du monde de natation et la Coupe du monde de natation.
Interrogé à ce sujet, M. Johnson a déclaré : « Je ne l’ai pas étudié en détail, mais je ne vois aucune raison de contester cette décision Après lui avoir résumé la politique, il a ajouté : « Cela découle de ce que j’ai déjà dit. »
On a également demandé à M. Johnson si une femme pouvait naître avec un pénis. « Non sans être un homme, c’est mon point de vue à ce sujet », a répondu le Premier ministre.
S’adressant à des journalistes qui l’accompagnaient lors de sa visite au Rwanda, on lui a demandé s’il croyait qu’il y avait une différence entre une femme et une femme transgenre.
« Oui. Écoutez, c’est très important que notre société soit aussi compréhensive que possible de tous les autres. J’ai toujours défendu cela. Lorsque vous commencez à passer des questions de sexualité aux questions de genre, vous commencez à soulever des problèmes particuliers. Je pense avoir parlé de trois préoccupations que j’ai eues dans le passé. Cela concerne l’âge auquel un enfant est capable de consentir à son propre traitement médical, sans avoir besoin de l’autorisation ou de la connaissance parentale, la question des espaces sûrs pour les femmes, et les difficultés à participer aux compétitions sportives. »
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