Il y a quelques jours, la présidente de transition de la république Centrafricaine Catherine Samba-Panza s’est rendue en France à l’Elysée pour rencontrer le président Français François Hollande, dans le but de lui exprimer son indignation face l’attitude des autorités judiciaires françaises.
D’après la radio française RFI, les autorités judiciaires françaises auraient décidé de mettre à l’écart les autorités judiciaires Centrafricaines dans le cadre des enquêtes sur le présumé v*ol des jeunes filles centrafricaines.
On se serait attendu que les autorités françaises et Centrafricaines travaillent la main dans la main en toute objectivité pour que la lumière soit faite sur cette affaire.
Mais à partir du moment où les autorités Centrafricaines sont tenues à l’écart et elles n’ont pas le droit de mener une enquête conjointement à celle des autorités Françaises, on pourrait bien s’interroger sur la crédibilité de ces enquêtes des autorités judiciaires Françaises.
Les autorités françaises en décidant d’enquêter toutes seules sur les présumés v*ols des militaires français sur les centrafricaines, seront-elles honnêtes de dire la vérité sur la conclusion de leur enquête ?
En excluant les autorités Centrafricaines dans les enquêtes, la France ne cherche-t-elle pas à passer subtilement une éponge dans cette affaire d’une profonde gravité ? Afripeople qu’en pensez-vous ?