USA: Impressionnantes révélations sur la vie de Barack Obama quand il était étudiant
Michiko Kakutani, célèbre critique littéraire américaine, a rencontré Barack Obama quelques jours avant son départ de la Maison-Blanche. Lors de leur entretien, le prédécesseur de Donald Trump était revenu sur ses années de jeune étudiant à New York.
En effet, comme on peut le lire dans un entretien réalisé par Michiko Kakutani publié dans la revue America, la première révélation de l’ex-président à l’auteur était qu’il avait toujours rêvé de devenir écrivain. Sa passion pour la littérature, née dans ses plus jeunes années, ne l’a jamais quitté. Barack Obama explique par ailleurs que lorsqu’il était « en première ou en deuxième année d’université », à New York, il s’était plongé dans les livres de façon intensive. « J’étais complètement replié sur moi-même », avoue-t-il.
Mais les révélations les plus impressionnantes c’est lorsque Barack Obama parle de ses années de galère. Avant de connaître le luxe de la Maison Blanche, il a vécu la vie d’un étudiant fauché de New-York. « Je n’avais qu’une seule assiette, une seule serviette, et j’achetais mes vêtements dans les friperies », confie l’ancien président des Etats-Unis.
Pendant cette période de disette durant laquelle il s’abreuvait de lectures, les livres lui ont permis de recentrer sa vie, sur l’essentiel. « Cela m’a permis de redécouvrir le pouvoir des mots pour comprendre qui j’étais, ce que je pensais, ce en quoi je croyais, et ce qui comptait vraiment pour moi », a-t-il indiqué.
« J’étais quelqu’un de très passionné, relativement dénué d’humour », a fait savoir le prédécesseur de Donald Trump à la maison blanche. Il faut dire que le plus remarquable dans ces révélations de Barack Obama, c’est non seulement son ouverture d’esprit mais surtout sa détermination à réussir dans la vie.
Obama avait su profiter de ce que lui avaient offert la nature et son milieu de vie. Son environnement lui a offert des bonnes études et la nature sa capacité à être un bon orateur. C’est sans doute grâce à cette culture longtemps emmagasinée, qu’il a su convaincre les Américains de l’élire en tant que président.