Victime d’une rupture des ligaments croisés du genou, Max-Alain Gradel n’a disputé que quatre matches avec Bournemouth. En Afrique, l’Ivoirien est au cœur d’une sombre affaire de sorcellerie et d’histoire de famille.
Après sa très bonne saison à l’AS Saint-Etienne, l’attaquant ivoirien Max-Alain Gradel a vécu une période mouvementé. Son début en Angleterre connais malheureusement des turbulences. Après quatre matches disputés, il a été victime d’une rupture des ligaments croisés du genou le 29 août face à Leicester. S’il ratera les six prochains mois de championnat, cela pourrait bien être dû à une affaire de sorcellerie.
Gradel puni par sa famille ?
Selon nos confrère de Select Magazine, Max Gradel aurait été victime de sorcellerie. Le joueur aurait été « puni par sa famille pour les avoir abandonnés au profit de son agent, Francis Kacou. » Ils agiraient donc spirituellement contre l’ancien de l’ASSE. Déjà victime de la même blessure en 2013, Gradel était revenu encore plus fort dans le Forez. Un regain de forme causé par son rapprochement avec sa famille, et notamment sa sœur Déborah Gradel, selon le magazine ivoirien, relayé par Afrik-Foot : « Gradel qui renaît de ses cendres du fait de son rapprochement avec sa famille fait comprendre à cette dernière, que désormais, il ne s’éloignerait plus d’elle. Il laisse libre cours à sa sœur aînée […] de le coacher. »
Auteur d’une saison prolifique, Max-Alain Gradel est courtisé sur le marché des transferts cet été. Il refait donc appel à son agent, Francis Kacou, pour rejoindre Bournemouth. C’est là que la volonté divine aurait opéré pour lui porter malheur : « Comme s’il avait lié des pactes avec son staff, et certainement sous l’effet d’un certain envoûtement, Gradel, après avoir signé à Bournemouth a tourné à nouveau le dos à sa famille. Il rentre dans un clash avec sa sœur aînée. Se dispute avec certains de ses oncles. »