Il bat sa mère à mort deux jours après avoir été libéré de 30 ans en prison
Deux jours après avoir purgé une peine de prison de 30 ans pour une charge d’assassinat en 1984, un homme du New Jersey aurait tué sa mère âgée de 64 ans.
De source policière, selon people.com, Steven Pratt âgé de 47 ans, a plaidé coupable d’homicide involontaire, mercredi dernier, en admettant son rôle dans la mort de sa mère Gwendolyn Pratt.
Une déclaration du procureur démontre que Pratt, qui vivait avec sa mère, a frappé à plusieurs reprises sa mère dans la tête le matin du 12 octobre 2014. La police s’est rendue à la maison de Pratt et a trouvé le corps de Gwendolyn inanimé à l’intérieur.
La déclaration précise également que les officiers ont immédiatement mis Pratt en garde à vue et une autopsie a révélé plus tard que la victime a succombé à un traumatisme contondant à la tête.
Pratt fait face à une nouvelle peine de 25 ans encore derrière les barreaux quand il sera condamné au cours des prochains mois, selon la police.
Il faut rappeler que le 10 octobre 2014, Pratt a été libéré d’une prison du New Jersey, où il avait passé les trois dernières décennies pour la fusillade mortelle de Michael Anderson.
En effet, quand Pratt avait 15 ans, il avait été surpris par Anderson fumant de la marijuana avec des amis. Une vive altercation est alors survenue entre les deux, au cours de cet incident, Pratt a frappé Anderson dans le visage avec un tuyau de plomb. Après avoir été touché, Anderson s’est enfui, mais quelques heures plus tard, Pratt est allé frapper à la porte d’Anderson, quand il l’ouvrit, Pratt l’a abattu.