Nicolas Ondo est un jeune étudiant Gabonais avait été arrêté par la police politique sous tutelle de la présidence de la République, pour des faits qui lui étaient reprochés. Il avait été roué de coups de pieds, de gifles et frappé à la plante des pieds.
Arrivé au poste , les policiers l’avaient déshabillés et mis en cellule de manière isolée. Quelques jours plus tard, un agent est venu l’extraire de sa cellule pour l’amener au bureau du capitaine Omer Elingui à la porte 109.
Par la suite, le capitaine Omer Elingui a demandé à deux agents de corriger sévèrement Nicolas Ondo. Les deux agents mandatés l’ont mis à plat ventre et ils l’ont sauvagement battu à l’aide du ceinturon avant de le s*domiser.
Nicolas dit d’ailleurs « J’ai pleuré, et ils m’ont menacé à mort au cas où je les dénonçais. A l’aide de ses camarades, il a déposé une plainte contre le capitaine Omer Elingui et les deux agents. Mais les magistrats n’auraient pas pris en compte sa dénonciation.
Actuellement le jeune Nicolas Ondo saigne abondamment et il n’a même pas été conduit à l’hôpital. Son cas est de plus en plus inquiétant. Il peut se vider de tout son sang et passer de vie à trépas. Mais les magistrats doivent-ils rester insensibles à ce qui arrive à Nicolas Ondo ?