Kenya: Un homme qui a décidé de vendre un de ses testicules, donne ses raisons!
Un ancien aspirant au poste de membre de l’Assemblée du comté (MCA) âgé de 27 ans a mis un de ses testicules en vente pour 500 000 shillings.
Ian-Harriel Kowiti, originaire de la circonscription d’Uriri dans le comté de Migori, au Kenya se dit fatigué de vivre dans la misère. Il a donc choisi de réunir des fonds en vendant l’un de ses testicules.
Kowiti, qui s’est essayé en politique lors de la dernière élection générale en tant que candidat indépendant, est également disposé à se séparer d’un de ses reins pour 1,5 million de shillings pour un «client local» et trois fois plus pour un «client» hors du pays.
« Quel est le besoin de laisser deux (testicules) pendre entre mes jambes si je peux toujours faire le travail parfaitement avec un seul? », a demandé Kowiti dans une interview avec The Nairobian.
«Imaginez qu’il y ait quelqu’un qui ne puisse pas avoir d’enfant pour une raison ou une autre. Je veux juste partager ce que j’ai, pour un petit bénéfice bien sûr! J’en ai assez d’être fauché, pourtant je n’ai pas besoin de deux testicules! », A déclaré Kowiti.
Kowiti dit qu’il vend son testicule pour améliorer sa vie. Cependant, il explique que l’argent n’est pas la motivation pour vendre son rein.
«Un ami médecin m’a confirmé que vous pouvez mener une vie saine et épanouie avec un seul rein. Cela me fait de la peine que quelqu’un souffre d’insuffisance rénale et doive dépenser autant d’argent en dialyse. J’ai deux reins qui fonctionnent et j’estime qu’il est bien d’en donner un », a-t-il expliqué.
Kowiti a ajouté: «Cela ne me dérangerait pas de faire un don de rein, seulement que j’ai maintenant une contrainte financière et ça ne me dérangerait pas d’avoir de l’argent en échange de l’organe. Si je faisais don de mon rein, la partie intéressée devrait assumer les coûts de la chirurgie et mes frais de voyage, c’est-à-dire si l’opération doit avoir lieu en dehors du pays. »
Bien qu’un homme puisse toujours mener une vie sexuelle saine avec un seul testicule, les médecins rejettent l’idée de prélever des testicules.
