Une journaliste américaine a décidé de relancer son action en justice civile contre l’ancien président des États-Unis, Donald Trump, qu’elle accuse de vi.ol.
Une journaliste américaine, E. Jean Carroll, qui accuse Donald Trump de l’avoir agressée s3xuellement dans les années 1990, a relancé, le jeudi 24 novembre, son action en justice civile contre l’ancien président des États-Unis.
Ce rebondissement intervient dans la nouvelle loi aux États-Unis permettant, pendant un an, aux victimes d’agressions s3xuelles de réactiver leurs éventuelles anciennes plaintes et réclamer un procès au civil. Donald Trump fait face à une double affaire judiciaire, celle du vi.ol et de la diffamation présumés devant la justice fédérale civile de Manhattan.
En effet, en plus du cas de vi.ol dont est accusé l’ancien chef d’État américain, la victime l’accuse de l’avoir diffamée pour avoir qualifié de « mensonge complet », en juin 2019, ses allégations de viol dans une cabine d’essayage d’un grand magasin new-yorkais en 1995 ou 1996.
L’ancienne chroniqueuse du magazine Elle et l’homme politique ont produit en octobre leurs dépositions sous serment devant un juge new-yorkais.
Alors en exercice (2017-2021), l’ex-président avait répondu ne l’avoir jamais rencontrée et qu’elle n’était « pas son genre de femme ». Ses avocats ont, en outre, toujours affirmé qu’il était protégé en 2019 par son immunité de chef d’État.
La défense de E. Jean Carroll demande un procès au civil en 2023 afin d’obtenir des dommages et intérêts.