États-Unis: Accusé d’harcèlement sexuel, Donald Trump réagit
Le président américain, Donald Trump, a condamné le Washington Post pour avoir publié un article sur une femme qui prétend qu’il l’aurait embrassée de force en 2006 dans le hall de la Trump Tower, où elle était employée, rapporte washingtonexaminer.
Dans un tweet, Donald Trump a apporté un démenti sur cette accusation, affirmant qu’une telle chose ne s’est jamais produite.
« Une femme que je ne connais pas et autant que je m’en souviens n’ai jamais rencontrée, dit en PREMIERE PAGE du Fake News Washington Post que je l’ai embrassée (pendant deux minutes) dans le hall de la Trump Tower il y a 12 ans. Cela n’a jamais eu lieu ! Qui ferait cela dans un lieu public avec des caméras de sécurité… », a écrit Donald Trump.
A woman I don’t know and, to the best of my knowledge, never met, is on the FRONT PAGE of the Fake News Washington Post saying I kissed her (for two minutes yet) in the lobby of Trump Tower 12 years ago. Never happened! Who would do this in a public space with live security……
— Donald J. Trump (@realDonaldTrump) 20 février 2018
Dans un deuxième tweet, il a écrit : « Encore une fausse accusation. Pourquoi le Washington Post n’écrit pas sur les femmes qui acceptent de l’argent pour inventer des histoires me concernant ? L’une d’elle s’est faite rembourser son emprunt immobilier… ».
….cameras running. Another False Accusation. Why doesn’t @washingtonpost report the story of the women taking money to make up stories about me? One had her home mortgage paid off. Only @FoxNews so reported…doesn’t fit the Mainstream Media narrative.
— Donald J. Trump (@realDonaldTrump) 20 février 2018
En fin 2017, Rachel Crooks, âgée de 35 ans, avait raconté sur un plateau de télévision que Donald Trump l’avait embrassée de force en 2006. A cette époque, la jeune dame avait 22 ans.
Crooks, candidate au Congrès de l’Ohio, est l’une des femmes qui ont accusé le président Trump d’inconduite sexuelle.
Crédit photo : foxnews