Sergueï Zhirnov est le dernier à évoquer la théorie du sosie du président russe
Depuis le début de la guerre entre la Russie et l’Ukraine le 24 février 2022, les informations sur les massacres qui ont été perpétrés des deux côtés ont été rejointes par des informations sur l’état de santé de Vladimir Poutine, le président russe. Le chef du gouvernement à Moscou a fait l’objet de rumeurs qui pointent vers une possible maladie : le cancer et la maladie de Parkinson n’en sont qu’un exemple.
Cependant, un espion du KGB proche de lui affirme que Poutine utilise un sosie pour cacher son véritable état de santé.
Vladimir Poutine, 70 ans, n’a aucune maladie officiellement diagnostiquée. S’il l’avait, le rendre public affaiblirait son image à l’étranger, mais divers médias pointent différents types de maux dont le Russe pourrait souffrir. Pour prévenir d’éventuelles tentatives d’assassinat et montrer son véritable statut, l’ancien espion du KGB, Sergei Zhirnov, affirme qu’il y a des images de prétendus sosies qui remplacent Poutine.
Poutine et Zhirnov ont travaillé ensemble
Zhirnov affirme avoir étudié et travaillé aux côtés de Vladimir Poutine à l’époque où ils étaient tous les deux au KGB, le service de renseignement soviétique. De plus, il a fourni deux preuves avec une date exacte dans lesquelles il affirme que Vladimir Poutine a utilisé un double.
L’évidence d’un possible sosie de Vladimir Poutine
La première date que Zhirnov accorde est le 21 février dernier. Selon l’ex-espion, on aperçoit un Poutine « maigre » et « toussant » prononçant un discours ce jour-là, mais ce n’est pas le même qui prononçait un discours pro-guerre à Moscou le lendemain.
« Il a une forme d’orbite totalement différente, une tête totalement différente, des rides différentes et une voix différente », a déclaré Zhirnov . En revanche, il assure que le sosie « avait un visage plus large ».
La deuxième preuve : « Ses gestes trahissent un sosie »
Le témoignage de l’ex-espion n’est pas le seul à suggérer que Poutine utiliserait un sosie. La chaîne russe Telegram General SVR partage également cette théorie et la prend en exemple mardi dernier, lors d’une visite de Poutine en Mongolie.
Mieux dit, du « faux Poutine », puisque SVR affirme que « les mimiques et le mouvement trop émotionnel des mains donnaient un double ». « Chez Vladimir Poutine les traits d’un chef d’orchestre n’ont pas été observés, mais hier son double agitait tellement les bras qu’on pourrait croire qu’il essayait de représenter un fan », a ajouté SVR.