Depuis le début du procès sur l’affaire Carlton, en l’absence des caméras, c’est aux dessinateurs de presse que revient la fonction d’illustrer le déroulement du débat au public. Les dessinateurs ont donc la charge de décrire l’attitude des avocats, des prévenus, de la partie civile.
Dans la salle d’audience Dominique Strauss Kahn (DSK) n’a pas caché une fois encore sa gourmandise et son désir incessant de conquérir une nouvelle femme. Pourtant, même par simple respect pour sa femme Anne Sinclaire, il doit avoir une conduite assez digne et responsable.
Mais pour DSK, il n’est pas question de taire ses pulsions même dans la salle d’audience. Pour cette fois, il n’a pas caché ses intentions à l’endroit de la dessinatrice Elisabeth de Pourquery.
Dans une interview qu’elle a été accordée à une chaine Française, Elisabeth de Pourquery explique comment DSK l’a abordé de façon étonnante et bizarre.
Laissant de côté tous les autres dessinateurs qui étaient d’ailleurs plus talentueux, DSK a fait une demande tout à fait particulière à Elisabeth Pourquery en la tapotant à l’épaule. Il a demandé à Elisabeth Pourquery de lui garder précieusement ses dessins. La dessinatrice dit d’ailleurs « Il a tapé sur mon épaule pour me demander mes dessins, il voulait un petit souvenir du procès, il a dit vous m’en mettez de côté un ou deux signés, j’étais stupéfaite, je ne m’attendais pas à cela »
Par ailleurs Elisabeth ajoute que : « pendant l’audience il se comporte comme un petit gamin, lorsqu’il n’envoie pas des sms, il tripote sa montre. »
Cette attitude de DSK peut-elle vouloir dire que c’est un vrai prédateur qui ne sait pas taire ses désirs les plus pressants pour les femmes ?