Cameroun: Ces deux tribus seraient-elles disqualifiées dans la succession de Paul Biya?
Qui succédera à Paul Biya? Quel doit être le profil de l’homme qui succédera à Paul Biya? Doit-on tenir compte de la tribu pour élire le successeur de Paul Biya? Ce sont quelques questions que se posent plusieurs politiques et observateurs de la scène politique Camerounaise.
Pour certains observateurs, la tribu du successeur ne compte pas. Ce qui doit intéresser les camerounais dans le choix du successeur de Paul Biya, ce sont les idées politiques, la pertinence du projet de société que nous propose les candidats.
Mais cette idée n’est pas partagé par plusieurs hommes politiques. Une enquête politique a parmi de découvrir que certaines tribus sont vues disqualifiées dans la course au fauteuil d’Etoudi. Il s’agirait :
1. Des Bamilékés : peuple de la région de l’Ouest Cameroun, les bamilékés occupent actuellement la présidence du Sénat, le secrétariat général du RDPC et certains postes ministériels importants. ce peuple est généralement qualifié d’envahisseur. Très engagé dans le commerce, la croissance économique du Cameroun dépend de ces hommes et femmes ressortissants de la région de l’ouest. Mais ce que toutes les autres tribus craignent, c’est de voir le pays entièrement liquidé jusqu’à la compromission des espèces de réserve. Très présent au sein de l’opposition politique, leur militantisme n’est pas à la hauteur d’un plébiscite présidentiel.
2. Les anglophones : ils sont évalué à 30% de la population camerounaise. Ils sont principalement installés dans les régions du Nord-ouest, Sud-ouest et un peu à l’Ouest et le Littoral. Leur principal parti d’opposition c’est le SDF. Même dans le RDPC, ils sont considérablement présents et occupent la primature sans oublier d’autres ministères.