« Je ne peux pas dire yako à une maman…qui dansait en caleçon »: Un journaliste tacle Tina Glamour
La réaction catégorique du journaliste André Sylver Konan a surpris plus d’un internaute sur les réseaux sociaux cet après-midi. Alors qu’il condoléançait les frères et sœurs de bb Carla, décédée dans la nuit du lundi, il a fait savoir qu’il ne pouvait pas en faire autant pour sa génitrice. Pour cause dit-il, ses récentes exhibitions sur internet.
Tina Glamour fait face à un nouveau deuil. Après Dj Arafat, la chanteuse perd un deuxième enfant, sa dernière-née, Carla Kéké. Certains sur la toile témoignent de leur soutien dans la tragique épreuve, alors que d’autres accusent la mère endeuillée d’avoir abandonné sa fille malade au profit d’un spectacle à Londres, le week-end dernier.
Les images dudit spectacle ont justement fait le tour des réseaux sociaux. Des clichés plutôt tendancieux, qui pour la plupart sont jugés inadmissibles pour une mère. D’ailleurs, André Sylver a exprimé sa colère après cette prestation qu’il trouve également exhibitionniste de la part de Tina Glamour. Il avance donc sans détour sur les réseaux qu’il ne pourrait condoléancer une mère ayant commis de tels actes alors que sa fille agonisait sur un lit d’hôpital.
« Je ne peux pas dire yako à une maman dont la fille agonisait à Abidjan et qui dansait en caleçon à Londres. Cela peut être excessif mais c’est mon avis indigné sur le sujet« , a répondu le journaliste à un internaute qui l’interrogeait sur ses propos sélectifs dans son adresse de condoléances aux proches de bb Carla.
Pour les plus insistants, il campe sur son avis, il réagit à nouveau en ces termes : « j’ai cité ceux à qui je voulais dire yako. Comprenne qui pourra. »