D’après les informations recueillies auprès des prisonniers et certains geôliers, une gardienne de prisons en service au laboratoire de l’infirmerie serait au centre d’un commerce s*xuel qui lui procurerait beaucoup d’argent
Le principal commanditaire est une infirmière, gardienne chef de prisons en service au laboratoire, dont l’activité fait couler beaucoup d’encre et de salive au cœur de ce pénitencier. Rappelons que le s*xe est strictement interdit au sein de cet univers carcéral.
Les téléphones portables, l’alcool, la drogue, la cigarette sont infiltrés sans aucun contrôle remarquable au point où les geôliers eux-mêmes font du commerce de ces stupéfiants leur principal business. Affectée à l’infirmerie de la prison centrale de KONDENGUI au service du laboratoire, en 2011, la dame en question la trentaine sonnée, serait la concubine d’un responsable bien influent au ministère de la justice, raison pour laquelle les dégâts qu’elle commet n’effleurent pas la sensibilité de ses supérieurs.
Selon son mode opératoire, elle introduit les femmes détenues dans son box du laboratoire et appelle au téléphone ses clients détenus contre une somme de 15.000 FCFA pour 20 minutes. Le système fonctionne comme suit, vous allez au laboratoire faire des examens aussitôt sur les lieux vous rencontrez votre vis-à-vis et la gardienne prend soin de jouer la sentinelle.
Soulignons que, le laboratoire de l’infirmerie se trouve à l’intérieur du quartier des femmes, on peut entrer à l’infirmerie et se retrouver au hall qui longe l’entrée du quartier des femmes. De l’autre côté, la gardienne chef en question ne s’arrête pas là, les prisonniers de luxe capables de lui verser 50.000 FCFA peuvent soulager leur besoin l*bidineux en toute discrétion.
Notons que cette infirmière ne travaillerait pas seule, c’est toute une longue chaîne. Le mauvais partage du butin à chaque fois qu’elle opère, l’aurait mis en désaccord avec une collègue qui a tout dévoilé. Il est donc inutile de se poser la question de savoir comment les détenues tombent enceinte constamment et accouchent des bébés prisonniers avec cette nouvelle forme de gestion à la prison centrale de KONDENGUI.
Qu’en pensez-vous ?
Source : Camerweb.com