Cameroun: l’acte horrible d’une jeune demoiselle de 25 ans sur son conjoint de 60 ans

Emmanuel Nouké n’oubliera pas d’aussitôt ce qui lui est arrivé le week end dernier à Bafia dans le département du Mbam et Inoubou. Selon la chaîne de télévision Canal 2 international, l’homme âgé de 60 ans vit en concubinage avec Gonoukou Marie, une demoiselle de 25 ans.

Tout serait parti d’une accusation banale. L’homme déclare qu’il consommait le vin de rafia communément appelé « Matango » lorsque la jeune femme est entrée dans la maison, l’accusant d’avoir prononcé son nom. Il semblerait que l’homme aurait aperçu sa conjointe en pleine conversation avec un jeune homme quelques heures auparavant. C’est ainsi qu’une violente bagarre est déclenchée entre le sexagénaire et la jeune Gonoukou Marie. Lors de cet affrontement, la jeune femme va attraper les t*sticules de l’homme qu’elle aurait tenté d’arracher.

Sous l’emprise d’une immense douleur, l’homme va se mettre à hurler. Par la suite, les secours constateront qu’il est en train de saigner abondamment, sur le champ il sera évacué d’urgence à l’hôpital, où il sera immédiatement pris en charge par les responsables du centre hospitalier et placé sous soins intensifs. Dieu merci, plus de peur que mal. La victime va s’en tirer avec une importante blessure au niveau des testicules. La jeune femme quant à elle n’enregistrera aucune blessure.

Gonoukou Marie a été transférée dans une unité de police pour besoin d’enquête. Il faut dire que l’acte de cette jeune demoiselle a été diversement apprécié par plusieurs Camerounais. Pour certains observateurs, cet acte doit être puni avec la dernière énergie parce que cette demoiselle avait l’intention de tuer l’homme.

Mais pour les juristes comme maître Jean de dieu Momo, l’on ne doit pas aggraver les faits, c’était juste une bagarre et de ce fait, la femme n’est pas aussi condamnable comme certaines langues voudraient le laisser entendre. Cette dernière a agi dans le cadre d’une légitime défense. En voulant se défendre lors d’une bagarre, tous les coups étaient permis. C’est ce qui peut expliquer l’agissement de la femme. Pour cet acte, elle n’ira pas en prison, selon l’homme de Droit.