Braquage de Kim Kardashian : Le concierge de l’hôtel fait de nouvelles révélations
Après avoir remis en cause le système de sécurité de l’hôtel, Abdulrahman le concierge et seul témoin du braquage de Kim Kardashian revient une fois encore avec de nouvelles révélations dans l’affaire du braquage de la star de télé-réalité, le 2 octobre dernier.
A en croire ses propos pendant une interview accordée à Entertainement Tonight, les voleurs n’en voulaient pas aux bijoux de la star. «Au début, ils n’étaient pas venus pour les bijoux. Ils étaient là pour l’argent».
D’après le concierge, Kim Kardashian et les braqueurs auraient eu également beaucoup de mal à se comprendre, la star ne parlant pas français et eux ne comprenant pas l’anglais.
Selon Abdulrahman, Kim Kardashian avait en tête que les braqueurs voulaient ses téléphones portables.
“Quand elle a vu la police – parce qu’ils étaient déguisés en policiers – elle n’a pas compris tout de suite, a-t-il raconté à ET. Un des voleurs a dit : ‘J’ai pas besoin des téléphones’, mais il ne parlait pas anglais et elle ne comprenait pas le français, et il n’arrêtait pas de demander de l’argent. De l’argent, de l’argent. Elle pensait qu’ils étaient là pour sa bague. Elle leur a montré sa main… Elle n’avait pas sa bague. Et le gars lui demande : ‘Elle est où, la bague ?’ Elle a fini par lui donner sa bague, elle était sur une table basse… Et il l’a mise dans sa poche.“ Mais «pour lui, ce n’était qu’une bague».
Abdulrahman a fini par avouer aux voleurs que l’Américaine n’avait pas d’argent liquide avec elle. C’est donc presque par dépit que les braqueurs se sont tournés vers la boîte à bijoux. Une affaire qui se révélera juteuse, le montant du vol étant estimé à près de 10 millions d’euros.
Selon son témoignage, les voleurs ne semblaient pas aussi préparés qu’on pourrait le croire. L’un d’eux a en effet «mis les bijoux dans son sac à dos et il est parti le sac ouvert. C’est pour ça qu’il a perdu des bijoux dans l’hôtel.
Le concierge n’en est pas à ses premières révélations. Il y a quelques jours, il avait mis en cause la sécurité de l’hôtel, soulignant que le code d’entrée de l’immeuble était connu de tous depuis de nombreuses années et que la direction de l’établissement refusait délibérément d’installer un système de vidéosurveillance.