Bill Gates va-t-il implanter des puces électroniques afin de contrôler et tracer la population ? Sa fondation répond !
Implanter des puces électroniques chez la population mondiale grâce au vaccin pour contrôler le monde … la pénible crise de coronavirus a donné lieu à des théories de complot contre l’humanité qui seraient orchestrées contre le patron de Microsoft Bill Gates. Des accusations que le riche milliardaire n’aurait jamais ni manifesté, ni déclaré selon Cnews.
C’était presqu’une conviction. Bill Gates était bien à la tâche dans une manœuvre qui devait lui servir à plus tard contrôler le monde. Et ce, grâce à la crise sanitaire de coronavirus dont il devait se servir pour faire passer un vaccin qui devrait avoir la vocation d’introduire chez les habitants de la planète, des puces pour contrôler ainsi toutes les données du monde. C’est du moins ce qui se rapportait jusqu’à ce qu’une équipe de l’AFP puisse déchiffrer les vrais faits.
Le supposé « certificat numérique » qui devait être un implant crée par Bill Gates concernait en effet une plateforme numérique pour permettre à chacun de faire des tests « sécurisés » de la pandémie.
Interrogée sur le sujet, la fondation Bill Gates a répondu : «La référence à des certificats numériques concerne la création possible d’une plateforme numérique en open source (un fichier ou un logiciel dont le code est accessible à tous, NDLR) dans le but d’étendre l’accès à un test à domicile qui soit sécurisé».
L’AFP compare ces certificats à la sécurité numérique qui existe dans les banques : « par exemple, si je me connecte au site internet de ma banque pour consulter mes comptes bancaires, le serveur de la banque envoie un « certificat numérique » qui atteste qu’il s’agit du bon serveur et non de celui de pirates informatiques », explique selon Cnews la fondation Bill Gates.
Une autre histoire montée contre le riche homme d’affaires concerne les » quantum-dots « . Ceux fabriqués par Gates permettraient d’accéder à l’historique médical d’une personne grâce à une particule placée sous la peau, sur le principe des tatouages. Grâce à smartphone et une « excitation » de la particule pour qu’elle apparaisse (elle est invisible le reste du temps), une personne peut accéder à son dossier médical ou son historique de vaccination.
Un scientifique, Kevin McHugh travaillant sur ce sujet déclare cependant que cela ne permettrait pas de tracer les personnes qui utilisent cette technologie.
Engagée dans de nombreux projets humanitaires -notamment en Afrique, où les infox sur Bill Gates sont particulièrement nombreuses-, pourvoyeuse de fonds d’entreprises privées et deuxième financeuse de l’OMS, la Fondation sert de terreau à bien des rumeurs visant le milliardaire. Cependant, cela lui vaut depuis longtemps l’hostilité renouvelée des militants antivaccins, déjà très actifs sur les réseaux sociaux et gonflés à bloc en période d’épidémie.