Nigeria: assoiffé de richesse, il tente de tuer sa mère pour un rituel
La police nigériane a arrêté un jeune homme qui a tenté de tuer sa mère pour faire prospérer son entreprise de fraudeurs internet.
La police de Lagos a arrêté un jeune homme du nom de Taiwo Akinola, qui a tenté d’assassiner sa mère pour un sacrifice rituel en vue de fructifier son chiffre d’affaires..
Selon plusieurs sources concordantes, l’homme a frappé le visage et le crâne de sa mère dans leur appartement où il habite avec sa mère, Mme Alice Iyabo Akinola et son petit-fils, Faruk, âgé de 14 ans.
Taiwo aurait demandé à sa mère, qui vend des provisions devant leur maison, de le rejoindre à l’intérieur pour une réunion importante. Il a ensuite envoyé son neveu, Faruk. pour lui acheter un mouchoir blanc et une cigarette.
Immédiatement, sa mère est entrée dans la maison avant de se faire attaquer par son fils. il lui a brisé la tête avec une planche, un fer à repasser et un chargeur UPS, pour s’assurer qu’elle ne survive à l’attaque mortel. .
Lorsque Faruk est revenu de la course, il n’a pas vu sa grand-mère dans le magasin, alors il est entré dans la maison pour voir la pauvre femme allongée dans une mare de sang. Choqué par ce qu’il a vu, le petit garçon a déclenché l’alarme qui a attiré les voisins sur la scène. .
La police a été informée et Taiwo fut rapidement arrêté. La victime a été transportée d’urgence à l’hôpital. Selon les médecins, elle se trouve actuellement dans un état très critique. Ces derniers se battent pour faire revivre Alice qui est inconsciente.
Lors d’un bref interrogatoire, le suspect a révélé qu’il lui avait été demandé de tuer sa mère pour avoir plus d’argent. Lors de la fouille de sa chambre, les pièces suivantes ont été récupérées:
Deux calebasses dont l’une contient un crâne humain et l’autre un mélange de concoction sombre; Une planche perforée de clous et tachée de sang; Un fer à repasser taché de sang; Un mouchoir blanc avec lequel il voulait récupérer le sang de la victime; Une bouteille contenant de l’huile et étiquetée « Retour à l’envoyeur ».
Crédit photo: NAN
