Cameroun-Photos: une animatrice d’une chaîne de télévision totalement méconnaissable…Explications
On l’appelle Soflane Kengne. C’est l’une des animatrices les plus suivies du petit écran sur la première chaîne de télévision privée, Canal2 International. Selon plusieurs témoignages, c’est depuis le mois d’août dernier, que la présentatrice a décidé de revoir sa silhouette, elle a décidé de maigrir. Pour se faire, elle aurait pris l’initiative de s’acheter un produit capable d’éliminer naturellement les graisses.
Certains observateurs parlent du produit appelé 3z/h. C’est un produit qui a été mis sur le marché par un certain clément Petsoko qui serait médecin naturopathe et spécialiste dans les produits amaigrissants. Seulement, la recette qui aurait été proposé à Soflane Kengne, ne l’a pas seulement fait maigrir, mais elle a surtout perdu tout son éclat et ressemble étrangement à une femme qui est déjà plongée dans le troisième âge. Pourtant Soflane n’est que dans la trentaine.
A la question de savoir que faut-il faire pour que Soflane retrouve son éclat et sa splendeur, certains téléspectateurs estiment qu’il faudrait plutôt la laisser comme elle est, elle a fait un choix et elle doit l’assumer. D’autres téléspectateurs plus compatissants lui proposent d’aller voir des dermatologues qui sans doute sont les mieux indiqués pour lui apporter des solutions à ce vieillissement de sa peau.
Pour l’heure, il faut dire que l’animatrice est dans tous ses états, elle n’aurait jamais pensé qu’elle deviendrait aussi affreuse après l’utilisation de ce produit. Sans doute, elle regrette d’avoir fait le choix de vouloir maigrir.
Un internaute ayant vu cette photo, a profité de l’occasion pour conseiller à toutes les femmes qui veulent maigrir, en les recommandant de pratiquer le sport en permanence. Car d’après lui, c’est la méthode la plus naturelle de faire fondre et de brûler les graisses. Le recours à des produits pour maigrir, peut avoir des conséquences néfastes. La preuve c’est qu’on peut voir en image, la conséquence du cas Soflane Kegne.