Angleterre: ‘’infidèle’’ une Zimbabwéenne doit rembourser tous les biens reçus de son ex fiancé
Une infirmière zimbabwéenne »infidèle » a reçu l’ordre de rembourser 116 000 £ à son ancien petit-ami à la suite d’une liaison présumée avec un autre homme.
Trish Garikayi, 37 ans, basée en Angleterre, a avoué avoir reçu une Porsche 911 et un bracelet en diamants d’une valeur de 100 000 £ de la part d’un homme d’affaires bien nanti, Wisdom Penfold, 58 ans. Mais, elle vient de révéler aussi avoir une liaison avec un autre homme.
Le tribunal a appris que 218 000 £ avaient été versés sur le compte de Garikayi après la vente par M. Penfold de deux immeubles de placement.
Insistant sur le fait que l’argent était un cadeau, elle a déclaré que, tout au long de la relation, « si je voulais quelque chose, je l’obtenais ».
« En ce qui concerne la discussion que j’ai eue avec Wisdom, ce sont des cadeaux pour moi.
« Nous étions amoureux, la relation était forte à ce moment-là. Il n’était donc pas nécessaire que je me pose des questions. » Son avocat, Chike Ezike, a ajouté: « La nature de la relation en était une où M. Penfold a accordé et versé des cadeaux somptueux à Mlle Garikayi. »
Il a également été allégué que Garikayi avait dépensé une partie de l’argent pour elle-même et 91 000 £ pour acheter une propriété à Harare, au Zimbabwe, sans sa permission.
M. Penfold n’a eu d’autre choix que de porter l’affaire devant un tribunal, où un juge a décidé qu’elle avait « détourné » l’argent que M. Penfold lui avait confié lorsqu’il était aveuglé par l’amour.
Le juge lui a ensuite ordonné de payer 116 000 £ à son ex-petit ami et de lui remettre 20% de son domicile, soit 340 000 £.
Après que le juge eut rendu son verdict, Garikayi a jeté sa bague de fiançailles d’une valeur de 2 500 £ vers son ex-fiancé, qui l’a ensuite ramassée calmement et l’a remise à son avocat.
La Cour centrale du comté de Londres a appris comment Garikayi avait prétendu être une « femme dont on s’en occupe » et avait insisté sur le fait que l’argent, comme les produits de luxe qu’il offrait, était des cadeaux non consignés.