« Je ne suis pas une sal*** » c’est le titre du documentaire réalisé par Marie Portolano et Guillaume dont les nombreuses révélations suscitent un énorme tollé.
Les révélations faites par le site internet « Les Jours » qui ont eu l’effet d’une bombe suite aux propos du consultant vedette de Canal+ Pierre Ménès qui se voit comme « L’homme à abattre ».
Ce sont plusieurs faits qui ont été vivement reprochés à Pierre Ménès. Un bisou forcé sur Isabelle Moreau en 2011, la même chose sur Francesca Antoniotti en 2016 qui a qualifié cet acte d’humiliation, et la jupe de Marie Portolano soulevée devant les spectateurs et collègues en 2016 pour laquelle, Pierre Ménès a simplement plaidé le trou de mémoire.
Sur les réseaux sociaux, la montée de la colère a poussé le consultant à se présenter dans l’émission Touche Pas à Mon Poste du 22 mars pour répondre de ses actes et s’exprimer sur ces affaires. Même s’il a reconnu les critiques qui lui ont été faites, Pierre Ménès a cherché à se trouver des excuses plutôt que de vouloir vraiment s’excuser.
Mettant ainsi en avant son état de santé défaillant lors de l’affaire de la jupe « C’était ma dernière émission avant que je tombe malade et que je disparaisse des écrans pendant 7 mois. Je n’étais pas dans mon état normal » ; et pointant du doigt une société où «Aujourd’hui c’est mee too, on ne peut plus rien faire on ne peut plus rien dire ».
D’après le journal L’Équipe, une altercation entre Habib Beye et Pierre Ménès aurait éclaté suite à l’émission un soir de Classique le mardi 23 mars dernier.
Et pour cause, le comportement de Pierre Ménès envers les Femmes. Plusieurs plaintes de journalistes, de maquilleuses et de coiffeuses ont été déposées à la direction. Une attitude et une impunité qui ont fini par excéder le caractériel de Habib Beye, ancien défenseur de l’Olympique de Marseille et de Newcastle (Angleterre).
« À ce sujet, le ton était monté très haut avec Habib Beye. Dans la soirée qui avait suivi l’émission, Habib Beye aurait sévèrement reproché à Ménès de mal se comporter avec les femmes, rappelant ce qu’il s’était passé avec Portolano. »
Mais Pierre Ménès ne fut pas le seul à être ciblé par Beye :
« Dans la foulée, Beye avait interpellé les autres journalistes présents, leur reprochant leur silence devant une pareille attitude… ».
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