Afrique du Sud: elle raconte comment des voleurs ont fait irruption chez elle et tué son fils
Une mère sud-africaine a sur son compte Facebook partagé son histoire déchirante.
Selon la femme, des voleurs ont fait irruption chez elle et ont tué son fils âgé de 4 ans.
Lire son post ci-dessous:
« Le lundi, 20 janvier à 20h30, des jeunes cambrioleurs armés ont pénétré dans notre arrière-cour, ont cassé la porte vitrée et sont entrés dans notre maison. Ils ont pris tout dans la maison et ont tué notre petit garçon qui était en pyjama.
Cette tragédie a laissé mon mari et moi avec un grand traumatisme au point de nous sentir comme si nous sommes de mauvais parents.
Ethan a été abattu et a survécu à deux interventions chirurgicales avant la fin de sa vie,
La première opération a été un succès et quand le Docteur a annoncé qu’Eth respirait par lui-même, ça a été la meilleure nouvelle que j’ai jamais reçue cette nuit-là … mais après la deuxième opération, les saignements étaient trop abondants, mon fils avait subi de graves lésions internes au corps. Le sang ne coagulait pas et cela a conduit à sa mort.
Le docteur est venu et a appelé mon mari et moi pour venir dire nos derniers adieux à notre fils pendant que le battement de cœur diminuait et finalement il est mort.
Je n’avais jamais imaginé de toute ma vie qu’Eth allait mourir à un moment donné et nous quitterait, je me voyais toujours mourir à un âge avancé en laissant Eth en tant qu’adulte indépendant… mais j’avais tort… je me mentais.
Mon mari et moi, essayons à peine de faire face à la situation, mais nous avons l’impression d’être dans un rêve… nous pleurons tout le temps, nous nous en voulons, nous aurions peut-être dû faire quelque chose de plus pour sauver la vie de notre fils…
Ethan était un très timide petit garçon, intelligent, affectueux, amical et il avait des dents de lait manquantes et aimait toujours câliner sa mère.
C’est ainsi que la vie de notre petit garçon adorable a été abrégée, que la bougie lumineuse du bonheur de notre petite famille a été éteinte.
Jusqu’à ce que nous nous revoyions, mon Eth, tu vivras toujours dans mon cœur.