Affaire KS Bloom / Mani Bella injurie Apoutchou et déclare une nouvelle fois la guerre aux Ivoiriens
L’affaire prend littéralement d’autres proportions. Alors que la majorité des artistes ivoiriens se mobilisent via des posts pour demander le retour de KS Bloom dans son pays, Apoutchou lui, a employé les moyens plus forts. Dans une publication, il a injurié ouvertement Mani Bella. L’artiste camerounaise n’a pas tardé à répondre en déclarant la guerre aux Ivoiriens.
KS Bloom serait retenu par les promoteurs de son concert manqué au Cameroun. Dans une vidéo, le chanteur lui-même avait fait savoir que l’un de ses managers était détenu par la gendarmerie locale. De fait, plusieurs artistes ivoiriens, ont fait des publications dans le sens d’exhorter à l’accalmie afin que KS et son staff managérial regagnent les terres ivoiriennes. Dans la foulée, Apoutchou National a aussi fait une publication allant dans le même sens, seulement il s’y est pris avec moins de docilité.
« Vous avez osé vous attaquer à petit Jésus ? Notre seul Saint du pays ? Là là. D’abord pour commencer maudia de Mani Bella » a avancé Apoutchou National.
Des propos très mal accueillis par Mani Bella qui réclamait quelques minutes après des excuses publiques. Chose à laquelle Apoutchou ne s’est visiblement pas plié. Un peu plus tard, Mani Bella a sorti les griffes en envoyant une riposte assez désobligeante à Apoutchou sur son profil Facebook.
« Pour commencer mon cher Apoutchou, Au Cameroun, aucune artiste n’a jamais pris le mari d’une citoyenne Camerounaise, jusqu’à faire un enfant avec et ensuite, refaire un deuxième enfant avec le monsieur sans être officiellement la 2ᵉ femme de ce dernier. As tu eu le courage de dire « M o dia » à ta propre sœur pour ce comportement nauséabond ??? Non! As-tu suggéré à ce couple d’officialiser leur relation par respect pour la femme légitime et pour tous les enfants concernés ? Non! Tu es donc le guide de quoi au juste en Côte d’Ivoire ??? De la bêtise et de la fornication ? Et c’est sur moi que tu oses écrire tes âneries là ?« , s’est interrogé la faiseuse de musique bikuti.
Puis de poursuivre avec une déclaration subtile d’une nouvelle guéguerre médiatique. « Top. C’est reparti… Vous allez me sentir. Chacun subira les balles perdues ! Celui ou celle qui se sent concerné parle. J’attends. »