L’affaire Samuel Eto’o-Nathalie Koah continue à faire couler beaucoup d’encres et de salives à travers le monde. Des réactions diverses et variées fusent de partout. Chacun y va de son commentaire selon son affinité. Mais l’affaire vient de prendre une toute autre tournure, car l’ex capitaine des lions indomptables qui est le principal concerné dans ce livre, vient d’assigner en référé les Éditions du moment pour selon lui »atteinte à l’intimité de la vie privée ». Mais des observateurs voient derrière cette plainte une envie d’interdire la parution de l’ouvrage Revenge P*rn — Foot, s*xe, argent, le 18 février prochain sous la coupole de »les Éditions du moment ».
Dans un communiqué la maison d’édition annonce même la tenue d’une audience la concernant de très près le lundi 15 février, suite à la plainte du joueur. Il faut préciser que Nathalie accuse Eto’o d’avoir publié des photos d’elle n*e, après leur séparation qui fait suite à un amour idyllique.
Concernant cette interdiction, le buteur camerounais défend son cas à travers une audience.
Les Éditions du Moment résument ainsi (ci-dessus) l’affaire qui oppose Nathalie Koah et Samuel Eto’o.
Dans Revenge P*rn, Nathalie Koah raconte donc ses années de vie sentimentale, qui ont tourné au vinaigre : en juillet 2014, Nathalie Koah avait déposé une plainte contre le sportif pour « traite de personne, outrage privé à la pudeur, publications obscènes, proxénétisme, menaces sous conditions, chantage et déclarations mensongères ».
Au cœur de cette plainte, la publication de photos en tenue d’Eve de la jeune femme, publication attribuée au footballeur par la plaignante, qui aurait porté des plaintes en France et au Cameroun.
En réponse à ces accusations, Samuel Eto’o explique que la jeune femme aurait tenté de « l’embrouiller », selon ses propres termes, dans le cadre d’une Fondation Samuel Eto’o qu’elle devait mettre en place avec le footballeur.
« Ce que j’ai offert à celle qui tente de salir mon nom aujourd’hui dépasse largement les 200 millions de FCFA (300 000 euros) que je lui réclame aujourd’hui », expliquait-il à propos d’une plainte qu’il a déposée en mai 2014.
Auprès de Jeune Afrique, Nathalie Koah expliquait qu’elle avait reçu des menaces de viol et de meurtre : « J’ai des enregistrements, des mails, des SMS. Je ne pouvais écrire de telles choses sans cela. Il peut attaquer en diffamation et il faudra alors que je me défende », expliquait-elle en juillet 2014.
Qu’en pensez-vous?