Affaire Dubaï Porta Potty : Accusée de se livrer à la pratique, Eudoxie Yao dit ses vérités
L’affaire fait carrément tache d’huile sur les réseaux sociaux depuis plusieurs jours. Il s’agit d’un fameux réseau de prostitution qui sévit à Dubaï. Les initiés se livrent à des pratiques s3xuelles lugubres. Depuis le début du buzz sur la toile, les internautes indexent Eudoxie Yao comme étant pratiquante. La jeune ivoirienne brise le silence et révèle ce qu’elle faisait à Dubaï durant ses récents voyages.
Le phénomène Dubaï Pota Potty est une nouvelle forme de prostitution exigeant aux femmes ayant consenti par un contrat au préalable, de se livrer à des pratiques nauséabondes en échange de grosses sommes d’argents. Le terme » Dubaï Pota Potty » désignant « toilettes publiques » ou « femmes toilettes« , les femmes impliquées érigent donc leurs bouches en des toilettes, permettant à des hommes d’y déféquer ou uriner. Elles s’adonnent également à des rapports s3xuels avec des animaux.
Une pratique dont est accusée Eudoxie Yao, assez friande de voyage dans la ville de Dubaï. En effet, une fois, l’affaire devenue virale sur la toile, une belle part des internautes s’emploient à y mêler Eudoxie Yao.
Elle est accusée par les rumeurs de faire partie du réseau en question. En colère, la jeune influenceuse a fait une sortie dans laquelle, elle détache son image de cette affaire et révèle les véritables raisons de ses voyages à elle aux Émirats Arabes Unis.
« Pour tout l’or du monde je ne peux pas faire ça. J’aime l’argent, mais je ne peux pas tout faire pour de l’argent. (…) Moi, ce sont mes fans qui me donnent de l’argent. J’ai des fans multi millionnaires, donc je n’ai pas besoin de coucher avec qui que ce soit pour avoir de l’argent » a catégoriquement affirmé Eudoxie Yao.
Elle a avoué d’autre part que durant ses virées à Dubaï elle séjourne effectivement dans des hôtels fracturés à plus d’un million 500 000 francs CFA la nuitée. Mais entièrement financé par ses fans et sans condition. Selon Eudoxie Yao, ses voyages sont d’ordre professionnels ou privés, elle se réserve donc d’en parler publiquement.