Accusé de faire l’apologie du vi.ol, l’acteur « Jimmy Danger », rétablit la vérité
Apologie du v*ol, une autre célébrité ivoirienne est mêlée à cette affaire. Il s’agit de l’acteur Ibo Laurent alias « Jimmy Danger ». Fortement critiqué à la suite d’une séquence vidéo dans laquelle il décrivait un scénario sur le vi.ol, l’acteur a réagit.
Invité à l’émission Faha Faha de la chaine Ivoire Tv, « Jimmy Danger » a révélé qu’il aurait refusé de jouer certains rôles pour ne pas ternir son image. C’est dans ce contexte qu’il a expliqué une scène relative au vi.ol qu’il aurait refusé d’interpréter.
« Quand on était jeunes, il y avait une cousine qui dormait avec nous au salon. J’ai fait un petit chat noir (profiter du sommeil d’une personne pour la vio.ler dans le jargon ivoirien). Elle a crié pour avertir des gens« , a-t-il-expliqué.
La séquence dans laquelle l’acteur expliquait la scène du v*ol a très vite été rendue virale sur les réseaux sociaux. Les internautes et médias ont tout de suite accusé l’acteur de faire l’apologie du vi.ol et pire, d’être un acteur du vi.ol. Submergé par les critiques et des accusations de vi.ol, l’humoriste a réagit dans une vidéo.
« Je vous avoue que je suis abattu (..) Je ne peux pas faire l’apologie du vi.ol. Pendant 10 ans, j’ai été l’un des rares comédiens à porter une robe pour défendre la gente féminine. J’ai défendu la femme dans mes pièces de théâtre, la petite fille non scolarisée, les femmes vio.lées, les femmes battues. Il n’y a même pas une association de femmes qui m’a appelé pour me dire viens tu vas faire une tournée africaine ou européenne pour sensibiliser les gens. C’est juste un élément qui a été enlevé dans son contexte pour être diffusé sur les réseaux sociaux« , a-t-il-expliqué avant d’exhorter les internautes à visionner l’intégralité de la vidéo pour mieux contextualiser leurs propos.
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Face à plusieurs critiques de mécontentement, la Haute Autorité de la Communication Audiovisuelle (HACA), Institution chargée de la régulation de la Communication Audiovisuelle en Côte d’Ivoire a été saisie et rassure qu’une enquête est en cours pour situer les responsabilités des uns et des autres.