Absente au mariage de Kerozen / Emma Dobré menace : » je n’ai aucun compte à rendre… »
Ce fut le seul grain de sable dans le somptueux mariage c e week-end de l’artiste ivoirien Kerozen: l’absence de sa productrice de toujours, Emma Dobré. Cette absence qui a fait jaser plus d’un sur la toile est d’ailleurs toujours commentée. La concernée n’a pas tardé à réagir à cette polémique naissante.
Pourquoi Emma Dobré, productrice de l’artiste Kerozen, a-t-elle brillé par son absence au mariage de son artiste ? La question est vivement commentée depuis hier. Et ça va dans tous les sens. Les plus prétentieux évoquent une jalousie sournoise de la productrice qui n’aurait pas des atomes crochus avec l’épouse de son artiste. Dans ce concert de supputations et d’accusations, Kerozen s’est tout de même marié avec des invités d’honneur.
On comptait principalement parmi ceux-ci Didier Drogba et son épouse et Samuel Eto’O, l’ancien buteur camerounais du Barça. Une cérémonie haut en couleur qui a vu aussi défiler la crème des faiseurs de coupé-décalé en Côte d’Ivoire, presque tous amis à l’heureux Kerozen. Au lendemain de la cérémonie, celle que tout le monde attendait est sortie de son bosquet: Emma Dobré.
C’est par le biais d’un message sibyllin qu’elle s’est introduite dans le débat qui fait rage. Un brin provocatrice et voulant répondre à ses détracteurs, Emma Dobré leur a demandé de continuer de « sauter. Dans l’argot ivoirien, elle tance ses contempteurs et leur demande de continuer à supputer comme bon leur semble. Avant de féliciter son poulain et sa femme.
. C’ est dimanche aujourd’hui presque 7 jours que j’ai allumé la télé j’ai fini je la débranche. Demain c’est une nouvelle semaine qui commence moi j’ai fini avec vous », a déclaré Emma Dobré, avant d’admonester encore ses « ennemis ».
j’ai aucun compte à rendre à personne sur ton Mariage à part toi et ma belle. Mon 10 tu sais et je sais le plus important Dieu à sa mains dedans. Je vous aime mes bb 7″, a écrit sur son compte Facebook, la productrice de l’artiste Kerozen.
