Côte d’Ivoire/Riana 2018: Abidjan capitale des arts numériques
La cérémonie d’ouverture de la 2e édition des Rencontres internationales des Arts Numériques d’Abidjan (RIANA) s’est tenue à l’Institut Français de Côte d’Ivoire, jeudi 08 février. Cette plateforme se veut une lucarne de création d’un écosystème numérique local dynamique en Côte d’Ivoire.
Depuis ce jeudi 8 février, Abidjan est la capitale des arts numérique à travers les Rencontres internationales des arts numériques qui s’achèveront ce samedi 10 février. Développer les nouvelles technologies et numériques dans l’entrepreneuriat est l’un des objectifs de Riana 2018.
A sa 2e édition, Riana vise la mise à jour des talents locaux et la création d’une passerelle entre les idées, les projets et les expressions artistiques d’ici et d’ailleurs.
D’entrée de jeu, le Directeur de l’Institut Français de Côte d’Ivoire a souhaité la bienvenue à tous les participants. « Le numérique et l’Institut Français sont deux choses qui seront fortement liés dans les années à venir », a-t-il dit.
L’initiateur des Riana, Jacobleu est revenu sur la naissance de ce festival des arts numériques avant de présenter les artistes qui allaient meubler cette cérémonie d’ouverture. A cet effet, les participants ont été éblouis par les différentes prestations. » A travers ce que nous venons de voir, on se rend compte que le numérique est bien plus que ce qu’on peut penser « , a déclaré un participant, approché par Afrikmag.
Nous ne pourrions parler d’arts numériques sans implication du ministère de la Communication, de l’Economie numérique et de la poste. Ainsi, le représentant du ministre Bruno Koné a salué l’initiative des Rencontres internationales des arts numériques d’Abidjan tout en remerciant Jaocobleu pour son apport dans la valorisation du numérique.
Il a également assuré que le Ministère de la Communication, de l’Economie numérique et de la poste entend soutenir cette initiative. « Le numérique est une chance pour nos pays en voie d’émergence, il offre l’opportunité de s’exprimer, de s’instruire et se renouveler », a-t-il conclu.